« Socrate conseille. Nous entendons : il faut que les imagos soient abritées par la psyché, toutes les imagos— celle de l’Autre et celle de Soi, et aussi celle de l’Humain, discrète et qui veille au coin du feu. Et il faut que la psyché, miroir on le sait, renvoie au Moi le reflet variable des représentations et fantasmes se jouant dans l’épaisseur de ses désirs. »
(P. C. Racamier[1])