Freuds metapsychologische Schriften
Mit dem Anspruch, einen Zugang zu Freuds metapsychologischen Schriften zu ermöglichen, hielt Alfred Lorenzer im Wintersemester 1985/1986 eine Reihe von Vorlesungen an der Frankfurter Goethe-Universität.
Mit dem Anspruch, einen Zugang zu Freuds metapsychologischen Schriften zu ermöglichen, hielt Alfred Lorenzer im Wintersemester 1985/1986 eine Reihe von Vorlesungen an der Frankfurter Goethe-Universität.
Siegfried Zepf und Dietmar Seel sind sich mit Marx und Engels einig, dass das menschliche Wesen im Ensemble der gesellschaftlichen Verhältnisse zu suchen ist. Sie plädieren dafür, das gesellschaftlich Unbewusste, das sich nach Marx und Engels auf gesellschaftliche Prozesse bezieht, vom gesellschaftlichen Unbewussten, wie es sich bei Freud, Fromm und anderen finden lässt, zu differenzieren.
Les critiques de la psychanalyse ne sont assurément pas nouvelles. Et étant donné la durée de leur récurrence, elles ne sont plus particulièrement originales non plus. Il faut avouer que les défenses de la psychanalyse ne le sont pas davantage.
La logique des maladies : on se comprend pas, mais cela s’explique
(Des mots, des ouvrages, des actes et des normes 11)
Omne simile claudicat[1]
Certains cliniciens refusent de formater la rencontre avec les patients. Cela ne les intéresse pas de cataloguer des symptômes, d’autant moins que ceux-ci sont au fond ambigus et indéterminés. Ils n’ont pas pour but d’établir un diagnostic au moyen de questionnaires basés sur des manuels statistiques. Ils essaient de ne pas orienter d’emblée l’entretien en introduisant des critères d’évaluation qui sont extérieurs à la situation clinique elle-même.
L’attitude que ces cliniciens adoptent envers leurs patients peut être comparée à celle que Marcel Mauss demande de la part de l’ethnographe.
Le psychanalyste en l’occurrence part du principe qu’il ne comprend rien immédiatement, parce qu’il est confronté à un étranger. Il s’intéresse au « fait social total » en la personne de l’analysant, il accueille tout ce qui vient sans exclure quoi que ce soit a priori. Il cherche, sans savoir ni décider ce qu’il y a lieu de trouver. Il engage un dialogue pour réduire l’écart initial. Il prend son temps parce qu’il sait que le temps de son interlocuteur n’est pas forcément le sien. Il ratisse large mais il sait qu’il doit apprendre à circuler et s’orienter dans un espace peu homogène qui n’est pas le sien, dans des contrées où certains lieux sont abandonnés, d’autres recherchés, d’autres transitoires, d’autres prometteurs peut-être. Il fréquente les personnes que fréquente l’analysant, par parole interposée, il est vrai, mais en laissant l’initiative à l’analysant, il attend de voir lesquels comptent et lesquels sombrent dans l’oubli.
La comparaison s’arrête sans doute là, pour plusieurs raisons.